Paroles d’autrefois – La Mère

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Paroles d’autrefois – La Mère

Sont réunis dans ce volume tous les écrits et toutes les causeries de la Mère d’avant 1920, à l’exception de « Prières et Méditations ». Il s’agit donc de textes très divers divisés en sept parties.

La première partie contient des relations de souvenirs comme « Un chef », des méditations comme « Savoir souffrir » ou « La Découverte suprême », des contes symboliques comme « Le sentier de tout-à-l’heure » ou « Les vertus », et une causerie, « De la pensée ».

La deuxième partie comprend des causeries préparées par la Mère pour un petit groupe qui se réunissait à Paris au cours de l’année 1912. En voici quelques titres: « Fonder la société idéale », « C’est à travers la divinité intérieure qu’il faut entrer en rapport avec tous les êtres », « Les fils de Dieu », etc.

La troisième partie comprend une suite à « De la pensée » de la première partie et d’autres causeries comme « La pensée centrale », « Le départ d’Abdoul Baha », etc.

La quatrième partie, reprenant le titre « Prières et Méditations », comporte uniquement des textes analogues à ceux du volume ainsi intitulé.

La cinquième partie est faite de « Notes et réflexions » trouvées sous ce titre dans les manuscrits laissés par la Mère: « Vers la lumière suprême », « Trois songes », « La guerre », etc.

La sixième partie comprend des lettres et des articles rédigés au Japon de 1916 à 1920 tels que « La femme et la guerre », « La femme et l’homme », « Aux femmes du Japon », etc.

La septième partie réunit, sous le titre « Belles histoires », plus de cent contes ou anecdotes traduits et adaptés en français par la Mère d’un livre anglais de F.J. Gould, « Youth’s Noble Path ». Elles sont regroupées en seize chapitres aux titres évocateurs: « La maîtrise de soi », « Courage », « La vie simple », etc. 341 pages


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Sri Aurobindo

Sri Aurobindo, yogi, poète, philosophe, penseur social et politique, est né à Calcutta le 15 août 1872. De sa septième à sa vingt et unième année, il fut élevé en Angleterre, d’abord à la St. Paul’s School de Londres puis au King’s College de Cambridge. Il y acquit une connaissance approfondie du grec et du latin, de l’anglais et du français, tout en se familiarisant avec d’autres langues européennes, comme l’allemand et l’italien.

Sri Aurobindo rentra en Inde en 1893 et demeura treize années au service de l’État de Baroda. Au cours de cette période, il passa maître dans la connaissance du sanskrit, apprit d’autres langues indiennes et étudia en profondeur tant les problèmes politiques que la tradition culturelle de l’Inde. En 1906, il se rendit au Bengale et se lança ouvertement dans l’action politique, son journal Bandé Mataram devenant la voix la plus puissante au début du mouvement pour l’indépendance de l’Inde. Arrêté en 1908, il passa un an en prison en attendant l’issue de son procès.

Relâché, il poursuivit son travail révolutionnaire jusqu’en 1910, époque à laquelle, en réponse à un appel intérieur, il quitta le domaine de la politique et se retira en Inde française, à Pondichéry, afin de continuer à pratiquer intensément le yoga. Ayant rassemblé toutes les vérités essentielles des expériences spirituelles du passé, il travailla à une réalisation plus complète qui pût transformer et diviniser la vie.

Ses œuvres renferment une grande part de la connaissance qui lui était venue au cours de la pratique de son yoga et offrent des exposés détaillés sur la philosophie spirituelle et le yoga, le sens véritable des Védas, des Upanishads et de la Bhagavad-Guîtâ, traitent de l’esprit et de la signification de la civilisation et de la culture indiennes, évoquent la nature et l’évolution de la poésie et “décrivent” le progrès de la société humaine vers son avenir divin.


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Dimensions 22 x 14 cm
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